Le bonheur, une vibration intérieure à cultiver
Je parle souvent de “bonheur” dans ma communication et en m’interrogeant sur le sujet, et après quelques recherches, j’ai trouvé ces explications.
Qu’est-ce que le bonheur, vraiment ?
Le mot bonheur revient souvent dans mes partages.
Mais que mettons-nous réellement derrière ce mot si simple, et pourtant si vaste ?
Le bonheur n’est pas une destination.
Ce n’est pas un objectif à atteindre à tout prix.
C’est un état d’être — une vibration subtile, stable et douce,
où le corps, l’esprit et le cœur se sentent alignés.
Un état de plénitude, durable et conscient
Le bonheur est souvent défini comme :
un état durable de satisfaction et de plénitude,
où l’inquiétude, le trouble et la souffrance sont apaisés.
Mais ce qui le rend unique, c’est sa nature subjective.
Il dépend de la perception que nous avons de nous-mêmes,
et de la manière dont nous nous relions au monde autour de nous.
Ce n’est pas une récompense extérieure.
C’est une paix intérieure.
Bonheur eudémonique vs plaisir hédonique
Il existe deux formes de bien-être :
-
Le bien-être hédonique : celui des plaisirs immédiats, fugaces,
liés à des activités agréables mais souvent passagères. -
Le bien-être eudémonique : plus profond, plus stable,
il correspond à cette sensation d’être à sa place, en lien avec son essence.
Le bonheur véritable appartient à cette deuxième forme.
Il s’enracine dans notre être, et non dans le faire ou l’avoir.
Cultiver le bonheur au quotidien
Le bonheur se construit, s’accueille, se ressent.
Il se manifeste dans :
-
un sourire échangé,
-
un instant de silence,
-
une pratique de yoga,
-
un rituel du matin,
-
une intention vibrante posée dans le cœur.
Il ne s’impose pas, il se choisit.
Et plus on le cultive, plus il grandit.
Une invitation à revenir à soi
Chaque jour est une opportunité de revenir à cette source intérieure.
De ralentir, de ressentir, de se reconnecter à l’essentiel.
✨ Le bonheur, c’est peut-être simplement cela :
habiter son corps, écouter son cœur, et honorer la vie…
même dans ses mouvements les plus simples.
Valérie – La Parqueuse Lumineuse
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